Une porte métallique au fond d'une froide impasse, balayée par les rafales d'un vent descendant des Pyrénées. Les habitués locaux, un couple de Britanniques, une jolie brune d'Aragon, les Nîmois du club des amis et la queue qui s'allonge. Attendre une heure parce que les recortadores sont dans la place.
Et la porte qui s'ouvre. Chacun prend sa place. Silence. Ils arrivent. Fiers, beaux, armés.
Quelques trop courtes secondes à les admirer, à les imaginer au combat, à les espérer débordant de caste.
Les toros de Partido de Resina/Pablo Romero ressemblent à des toros de lidia. C'est con à dire !! Encore plus à écrire. Con ou triste ? Peut-être les deux. Enfin, je pense ...
Tellement il y a de bestioles à quatre pattes et deux cornes qui ne ressemblent à rien et qui font croire que ...
Miguel de Burdeos
P.S. : Saragosse, midi (ou à la fin des recortadores), apartado, gratuit. Attendre devant la porte métallique cachée par les camions de la télé, côté opposé à la taquilla.
vendredi 29 octobre 2010
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