lundi 30 août 2010
SANS PARDON
Assis sur le béton du Plumacon, j'entends le craquement des vielles planches, je sens quelques effluves de résine libérées par la chaleur du soleil.
Un rêve qui passe.
Qui, aujourd'hui, pleure la disparue placita boisée de Saint Perdon ?
Sans pardon pour les "décideurs", élus locaux ou membres influents d'un mundillo tricolore peu reconnaissant, qui rayent un pueblo de la carte taurine !!
Miguel de Burdeos
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